Dostoïevski, Fiodor

Les nuits blanches - Dostoïevski, Fiodor - Bibebook cover

Un jeune fonctionnaire parcourt Saint-Pétersbourg en tous sens pour tromper son ennui et sa solitude. Au retour d'une promenade, il croise sur les bords de la Néva une jeune fille qui pleure. Il voudrait l'aborder mais n'ose pas, pourtant il lui évite d’être importuné par un homme saoul. Elle accepte d'être raccompagnée chez elle. Les deux jeunes gens promettent de se revoir le lendemain soir au même endroit... Extrait : Un instant de silence, puis encore un sanglot. Mon Dieu ! mon cœur se serra.

Un printemps à Pétersbourg - Dostoïevski, Fiodor - Bibebook cover

Les Annales de Pétersbourg est une chronique. Extrait : Nous connaissons notre caractère. Souvent nous sommes fâchés contre nous-mêmes et contre les devoirs qui nous sont imposés par l'Europe. Nous sommes sceptiques, nous tenons beaucoup à l'être, et, avec un grommellement sauvage, nous nous écartons de l'enthousiasme, nous en défendons notre âme slave sceptique. Parfois on a le désir de se réjouir. Mais si l'on allait tomber mal à propos, faire une gaffe, se réjouir à tort, que dirait-on de nous ? Ce n'est pas en vain que nous aimons tant les convenances.

La logeuse et autres nouvelles - Dostoïevski, Fiodor - Bibebook cover

Ce recueil contient de nombreuses nouvelles : Un cœur faible : Le héros principal est un petit scribe, Vassia, jeune homme plein de qualités, de bonté et d'amour. Ce jeune homme modeste est content de son sort, quoiqu'il ne reçoive que vingt-cinq roubles par mois. Son chef, Julian Mastakovitch, l'exploite en lui donnant du travail supplémentaire non payé durant quatre mois. Mais Vassia le fait avec zèle, et lorsque le chef le gratifie de cinquante roubles, l'âme candide de Vassia déborde de reconnaissance.

Niétotchka Nezvanova - Dostoïevski, Fiodor - Bibebook cover

Nétotchka Nezvanova est un roman inachevé de l'écrivain russe Fiodor Dostoïevski écrit entre 1847 et 1849. Bien que le roman de Dostoievski, Niétotchka Nezvanova, occupe une place importante dans l'œuvre du génial écrivain russe, il était resté jusqu'à présent inédit en langue française. Il est vrai que si l'on cherche parmi les ouvrages de Dostoievski, parus en français, on découvre trois romans, attribués à cet auteur, traduits par M.

Souvenirs de la maison des morts - Dostoïevski, Fiodor - Bibebook cover

Ce roman a également été traduit sous les titres Récits de la maison des morts et Les Carnets de la maison morte, le titre russe étant : Записки из Мертвого дома (littéralement, Notes [provenant] de la maison morte). Ce roman a été commencé en 1855, après que l'auteur eut purgé une peine de cinq ans de bagne. Il fut publié en 1862. Premier récit sur le système pénitentiaire des tsars, c'est une œuvre phare de la littérature concentrationnaire.

Le joueur - Dostoïevski, Fiodor - Bibebook cover

Courant les grands casinos européens, Dostoïevski est criblé de dettes quand il écrit ce court roman. Dans une ville d'eau imaginaire, Alexis est employé dans la maison d'un général russe endetté auprès de son entourage. Paulina, pupille du général, demande à Alexis de jouer à la roulette pour elle, son rang lui interdisant les jeux de hasard. Elle a besoin d'argent mais ne dit pas pourquoi à Alexis, amoureux d'elle.

Les frères Karamazov - Dostoïevski, Fiodor - Bibebook cover

L'intrigue principale tourne autour des trois fils d'un homme impudique, vulgaire et sans principes (Fiodor Pavlovitch Karamazov), et du parricide commis par l'un d'entre eux. En réalité, les enfants sont au nombre de quatre puisque le père donne naissance à un bâtard qu'il nommera Smerdiakov.

L’éternel mari - Dostoïevski, Fiodor - Bibebook cover

À partir d'un scénario de vaudeville, Dostoïevski bâtit une fable angoissante sur la fatalité des rapports humains et, d'une sinistre histoire d'adultère et de revenants, il dresse un constat grinçant sur l'absurde reproduction des comportements d'échec. Extrait : Environ quinze jours auparavant — à vrai dire, il ne se rappelait pas au juste, mais il devait bien y avoir cela —, il avait rencontré, pour la première fois, dans la rue, quelque part, oui, à l'angle des rues Podiatcheskaïa et Mechtchanskaïa, un homme qui portait un crêpe à son chapeau.

L'esprit souterrain - Dostoïevski, Fiodor - Bibebook cover

Les Carnets du sous-sol (version adaptée et abrégée sous le titre L’Esprit souterrain) Ce livre regroupe une nouvelle et un court roman de l’auteur, regroupés en deux parties par l’éditeur (Librairie Plon) : «Katia» correspond à «La Logeuse» (1847) et le titre original de «Lisa» est «Le Sous-sol» (1863), ce dernier roman étant également connu sous les titres suivants : «Mémoires écrits dans un souterrain», «Les Carnets du sous-sol», «Manuscrit du souterrain». «Je suis malade... Je suis méchant, très-désagréable.» Ainsi se décrit Ordinov dans ses carnets.

Les possédés - Dostoïevski, Fiodor - Bibebook cover

«Est-il possible de croire? Sérieusement et effectivement? Tout est là.» Stavroguine envoûte tous ceux qui l'approchent, hommes ou femmes. Il ne trouve de limite à son immense orgueil que dans l'existence de Dieu. Il la nie et tombe dans l'absurdité de la liberté pour un homme seul et sans raison d'être. Tous les personnages de ce grand roman sont possédés par un démon, le socialisme athée, le nihilisme révolutionnaire ou la superstition religieuse.

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