Diderot, Denis

Le neveu de Rameau - Diderot, Denis - Bibebook cover

Le Neveu de Rameau ou La Satire seconde est un dialogue écrit par Denis Diderot sans doute entre 1762 et 1773. Il s'agit d'une discussion à bâtons rompus entre Moi, le narrateur, philosophe, et Lui, Jean-François Rameau, neveu du célèbre compositeur Jean-Philippe Rameau. L'épigraphe du livre, « Vertumnis, quotquot sunt, natus iniquis » (« né sous l'influence maligne de tous les Vertumnes réunis ») est à rapprocher du sous-titre de satire seconde, du latin satura (mélange).

Jacques le fataliste - Diderot, Denis - Bibebook cover

Jacques le fataliste et son maître est un roman de Denis Diderot dont l'écriture s'étend de 1765 jusqu'à la mort de ce dernier en 1784. L'œuvre paraît initialement en feuilleton dans la Correspondance littéraire de Melchior Grimm entre 1778 et 1780. Jacques, qui voyage en compagnie de son maître, possède une personnalité plus complexe que celle d'un valet de comédie : il est bavard mais aussi quelque peu philosophe (« une espèce de philosophe ») et c'est à son fatalisme qu'il doit son surnom.

La religieuse - Diderot, Denis - Bibebook cover

Au XVIIIe siècle, une jeune fille nommée Suzanne Simonin est contrainte par ses parents de prononcer ses vœux au terme de son noviciat. En effet, pour de prétendues raisons financières, ceux-ci ont préféré enfermer leur fille au couvent. C’est en réalité parce qu’elle est une enfant illégitime et que sa mère espère ainsi expier sa faute de jeunesse. C’est dans la communauté des clarisses de Longchamp qu’elle rencontre la supérieure de Moni. Celle-ci, une mystique, se lie d’amitié avec la jeune fille avant de mourir.

Les deux amis de Bourbonne et autres contes - Diderot, Denis - Bibebook cover

Le texte initial de Diderot, rédigé fin de l'été 1770, et envoyé depuis Bourbonne à Naigeon a aujourd'hui disparu, mais deux (autres) versions du texte sont aujourd'hui connues. La première, chronologiquement, plus courte et précédée de deux lettres (l'une de madame de Pruneveaux à Naigeon, l'autre de madame de Pruneveaux à un curé, est retrouvée en 1985 et éditée par Jean Varloot dans la Revue de la bibliothèque nationale (de France). La seconde est celle qui paraît dans la Correspondance littéraire le 15 décembre 1770.

Regrets sur ma vieille robe de chambre - Diderot, Denis - Bibebook cover

Regrets sur ma vieille robe de chambre ou Avis à ceux qui ont plus de goût que de fortune est un essai rédigé par Denis Diderot en 1768 et inséré l’année suivante dans la Correspondance littéraire. Il fut publié en volume en 1772 sans l'accord de l'auteur par Friedrich Ring dans une brochure petit in-8°, sans indication de lieu, mais sortant certainement d’une imprimerie suisse. L’écrivain avait rendu un service signalé à Marie-Thérèse Geoffrin, fameuse par le salon littéraire qu’elle tint avec tant de distinction.