Discours de réception de la Séance de l'Académie française du 7 avril 1892. Extrait : C’est un fait acquis, que je ne lis jamais. Des notes biographiques l’ont dit et redit, dans des journaux ou des revues ; cela s’est répété partout. Des différentes légendes, que mon constant éloignement a laissées se former autour de moi, et qui sont en général pour faire sourire, celle-ci par hasard s’est trouvée fondée. C’est vrai ; par paresse d’esprit, par frayeur inexpliquée de la pensée écrite, par je ne sais quelle lassitude avant d’avoir commencé, je ne lis pas.