Zola, Emile

Le docteur Pascal - Zola, Emile - Bibebook cover

Le Docteur Pascal est le vingtième et dernier volume de la série des Rougon-Macquart. L’intrigue se déroule entre 1872 et 1874, autrement dit après la chute du Second Empire, période qui constituait le cadre historique de l’ensemble de l’œuvre. En fait, il s’agit ici de donner une conclusion à l’histoire de la famille, et de développer les théories sur l’hérédité que Zola a empruntées aux docteurs Prosper Lucas et Bénédict Augustin Morel. Extrait : Souriante, Clotilde songeait aux commérages dont lui avait parlé Martine, à ce père Boutin qu'on accusait le docteur d'avoir tué.

L'Œuvre - Zola, Emile - Bibebook cover

L’Œuvre est le quatorzième volume de la série Les Rougon-Macquart. L’ouvrage nous entraîne dans le monde de l’art et des artistes, à travers le portrait d’un peintre maudit, Claude Lantier, dont le personnage évoque celui de Paul Cezanne, grand ami de Zola, qui se brouillera avec l’écrivain après la publication du roman. Extrait : Du bout de sa brosse, il indiquait une académie peinte, pendue au mur, près de la porte.

Le rêve - Zola, Emile - Bibebook cover

Le Rêve est le seizième volume de la série Les Rougon-Macquart. Zola y aborde le thème de la religion, mais de façon beaucoup moins violente et polémique qu’il ne l’avait fait dans la Conquête de Plassans ou la Faute de l'abbé Mouret. Cette fois-ci, il s’intéresse à la foi populaire et au renouveau du mysticisme dans la société française de la seconde moitié du xixe siècle. extrait : Et, de toute la cité mystique, la maison des Hubert, où désormais Angélique allait vivre, était la plus voisine de la cathédrale, celle qui tenait à sa chair même.

La mort d'Olivier Bécaille - Zola, Emile - Bibebook cover

Extrait : J'eus pourtant une suprême joie. Marguerite, malgré sa faiblesse, voulut me donner les derniers soins. Ce fut elle qui, aidée de la vieille femme, m'habilla, avec une tendresse de sœur et d'épouse. Je sentais que j'étais une fois encore entre ses bras, à chaque vêtement qu'elle me passait. Elle s'arrêtait, succombant sous l'émotion ; elle m'étreignait, elle me baignait de ses pleurs. J'aurais voulu pouvoir lui rendre son étreinte, en lui criant : “ Je vis !

Thérèse Raquin - Zola, Emile - Bibebook cover

A dix-huit ans, désœuvré, s’ennuyant à mourir dans la douceur dont sa mère l’entourait, il entra chez un marchand de toile, à titre de commis. Il gagnait soixante francs par mois. Il était d’un esprit inquiet qui lui rendait l’oisiveté insupportable. Il se trouvait plus calme, mieux portant, dans ce labeur de brute, dans ce travail d’employé qui le courbait tout le jour sur des factures, sur d’énormes additions dont il épelait patiemment chaque chiffre. Le soir, brisé, la tête vide, il goûtait des voluptés infinies au fond de l’hébétement qui le prenait.

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